Bien se nourrir
La liste des repères du PNNS sur le site Mangerbouger.fr
Prévenir le risque de dénutrition
L’âge, la maladie ou encore les traitements peuvent induire une perte de l’appétit ou du goût. Une perte de poids et une diminution de la masse musculaire peuvent alors apparaître. Pour
éviter tout risque de dénutrition, il est important de maintenir une alimentation suffisante répartie sur trois repas quotidiens.
Le site
Mangerbouger.fr
Prévenir le surpoids, l’obésité et certaines maladies
Une alimentation équilibrée et une activité physique régulière permettent de prévenir le surpoids et d’éviter plusieurs affections ou risques plus fréquents avec l’âge. C’est le cas du
diabète, de l’hypertension artérielle, de l’hypercholestérolémie, de l’ostéoporose, ou encore des troubles de la mémoire ou de la constipation.
Le site Mangerbouger.fr
Le site de la Fondation cœur et artères
Comment maintenir une alimentation équilibrée ?
Une alimentation équilibrée et variée ne se construit pas sur un seul repas, mais plutôt sur ceux de la journée ou de la semaine. Pour y parvenir, il est important de bien connaître chaque
famille d’aliments.
Le site Mangerbouger.fr propose :
Une
table de repères pour savoir comment consommer chaque catégorie d’aliments
Un générateur de menus équilibrés baptisé « La fabrique à menus »
D’autres sites proposent des recettes de cuisine :
Le site de la
Fédération française des diabétiques
Le site de la Fondation cœur et artères
Des précautions à prendre
Les régimes spécifiques
Pour certaines pathologies, un régime alimentaire spécifique fait partie intégrante du traitement. Si c’est votre cas, cette question sera abordée avec votre médecin. Selon votre situation,
une consultation avec un diététicien peut vous être proposée.
En cas de régime alimentaire spécifique, il est indispensable de connaître la composition nutritionnelle des aliments. Celle-ci est consultable en ligne via la Table Ciqual (Centre d’information sur la qualité des aliments) publiée par l’Observatoire de la qualité nutritionnelle de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).
Les compléments alimentaires
S’ils sont accessibles sans ordonnance, les compléments alimentaires ne sont pas pour autant des produits anodins. Les substances qu’ils contiennent (vitamines, minéraux…) sont actives et
peuvent avoir des conséquences positives ou négatives sur la santé. Elles peuvent aussi interagir avec les médicaments. L’avis d’un médecin est donc indispensable avant de se
supplémenter.
Le dossier sur les compléments alimentaires de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de
l’environnement et du travail
Les interactions avec les médicaments
Certains aliments contiennent des substances actives pouvant interagir avec un traitement médicamenteux. Ils peuvent faire apparaître des effets indésirables ou perturber l’efficacité du
traitement. Ce phénomène est fréquent avec l’alcool. Les interactions entre médicaments et aliments sont précisées dans les notices des médicaments. En cas de doute, votre médecin ou un
pharmacien peut vous renseigner.
La base de données publique des médicaments permet de consulter en ligne
la notice d’un
médicament
Pratiquer une activité physique
Les maladies chroniques, et la fatigue qu’elles entraînent, peuvent compliquer la pratique d’une activité physique. Or, bouger - avec certaines précautions - fait du bien au corps et à
l’esprit, en permettant de rester en forme, d’entretenir son corps et de préserver sa santé sur le long terme.
Le programme national nutrition santé propose un repère
concernant l’activité physique quotidienne
Le site Mangerbouger.fr propose des conseils pratiques pour parvenir à respecter le repère d’activité physique quotidienne
Des précautions à prendre
L’activité physique doit être pratiquée avec bon sens et adaptée à votre état de santé, surtout s’il s’agit d’une activité physique soutenue. On parle d’activité physique adaptée (APA) pour
les personnes atteintes d’une maladie chronique, d’une maladie rare ou en situation de handicap. La pratique d’une activité physique soutenue doit être discutée préalablement avec votre
médecin.
La Fédération française de cardiologie a créé des « Clubs cœur et santé », dont l’un des objectifs est de favoriser la pratique d’une activité physique adaptée.
La liste de leurs
implantations
Le site de la Fédération française des diabétiques, sur la pratique d’un sport et d’une activité physique en cas de diabète de type 1 ou 2
Le site Mangerbouger.fr rappelle les règles générales pour :
Rester en forme après 60 ans
Bouger même après 75 ans
Brochure de l’Inpes : Alimentation et exercices physiques - Comment garder son équilibre après 60 ans ?
Le site
INPES
Article paru sur: http://social-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/vivre-avec-une-maladie-chronique/article/bien-manger-et-bien-bouger
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